Bureau d’études en hydrogéologie

AESF, entreprise d’études de sol à Nîmes, est là pour vous accompagner à toutes les étapes de votre projet de gestion des eaux pluviales.

Attestation PCMI 14

Pendant la phase de demande de permis de construire, il est impératif de fournir une Attestation PCMI 14, un document obligatoire selon la réglementation en vigueur. Notre bureau d'études en hydrogéologie AESF est là pour vous guider à travers les exigences de cette attestation.

L'Attestation PCMI 14 est cruciale pour le permis de construire, car elle certifie que votre projet a fait l'objet d'une étude de gestion des eaux pluviales conforme aux règles locales. Elle peut être délivrée par un cabinet d'études géologiques spécialisé ou un architecte.

Chaque projet entraîne une certaine imperméabilisation du sol, ce qui peut aggraver les problèmes de ruissellement des eaux pluviales et empêcher l'infiltration naturelle. Il incombe au maître d'ouvrage de gérer ce débit d'eau pour éviter de surcharger les réseaux publics et d'éviter les risques d'inondation en aval.

L'étude de gestion des eaux pluviales est essentielle pour dimensionner les ouvrages de rétention, ce qui garantit un débit équivalent aux ruissellements naturels.

Plusieurs paramètres entrent en jeu dans le dimensionnement d'un ouvrage de rétention des eaux pluviales :

La nature de la surface et son coefficient de ruissellement : En matière de gestion des eaux pluviales, trois types de surfaces sont pris en compte, à savoir les surfaces imperméables, les surfaces semi-imperméables et les espaces verts. Plus une surface est imperméable, plus le volume d'eaux pluviales à gérer est important. Des solutions alternatives telles que les voiries gravillonnées et les toitures végétalisées peuvent réduire le ruissellement.

Les règlements locaux : Chaque commune a ses propres réglementations. Il est possible que deux règlements se chevauchent, comme ceux liés au PLU et au PPRI. Dans ce cas, il est nécessaire de respecter les règles les plus restrictives. Les communes définissent souvent la période de retour d'une précipitation (décennale, vingtennale, centennale) et le débit maximal de rejet autorisé en fonction du zonage pluvial.

Les caractéristiques du terrain : Les propriétés du terrain, comme la superficie disponible, la géologie, la perméabilité du sol, la topographie, etc., influencent le choix des solutions possibles.
Selon ces caractéristiques et les réglementations en vigueur, plusieurs options peuvent être envisagées :

Infiltration sur place : Si le terrain est suffisamment perméable et dispose d'une superficie adéquate, il est possible d'infiltrer les eaux directement dans le sol à l'aide d'ouvrages adaptés, tels que les tranchées d'infiltration et les puits perdus.

Rejet contrôlé dans le réseau existant : Si l'infiltration n'est pas possible en raison du manque d'espace ou d'une perméabilité insuffisante, les eaux peuvent être dirigées vers un réseau hydrographique existant, comme le réseau pluvial communal ou un fossé, avec un débit maîtrisé. La rétention d'une partie des eaux sur la parcelle contribue à ne pas surcharger le réseau existant. La dimension de l'ouvrage de rétention est déterminée par l'étude préalablement mentionnée.

Pour toutes vos questions et besoins en études de gestion des eaux pluviales, vous pouvez compter sur le cabinet d'études en hydrogéologie AESF. Notre équipe reste à votre disposition pour vous accompagner.